Mnec stream, Grrrrah! Uuuugh!,

Mnec stream, Rrrrrroar! Aaaaargh!.

Dans l’noirceur, j’marche sans arrêt,

R’veille les morts, c’t’un maudit banquet.

Où les os dansent sous l’ciel brumeux,

Dans un rituel ben ténébreux.

L’obscurité m’appelle encore,

Pour mener l’bal, quel décor.

J’invoque les esprits d’l’autre bord,

Pis j’déchire l’voile, ben fort.

Les âmes crient à leur réveil,

Dans c’party-là, zéro sommeil.

Fêtons c’te nuit sans fin!

Où morts pis vivants dansent enfin.

Dans une fête surréelle,

Où l’chaos devient ritournelle.

Les tuniques noires flottent dans l’air,

Dans la brume spectrale, ben clair.

Les cris résonnent dans l’éternité,

Dans c’party-là d’humanité.

Les cloches sonnent sans arrêt,

Les âmes arrivent, prêtes à danser.

J’invoque les forces d’l’enfer,

Pour semer l’chaos, ben l’envers.

Les ombres dansent sans contrôle,

Dans c’rituel-là, ça console.

Fêtons c’te nuit sans pitié!

Où morts pis vivants vont s’amuser.

Dans une fête surréelle,

Où l’chaos fait sa ritournelle.

Les spectres chantent à l’infini,

Dans c’party-là, c’est un défi.

Les âmes crient en passant,

Dans c’rituel, ben résonnant.

Minuit approche, c’t’heure-là,

Les morts vont s’lèver, attention-là!

Déchirant l’voile dimensionnel,

Les âmes cherchent un party éternel.

Dans c’danse spectrale,

Où l’chaos, c’est l’essentiel.

Fêtons c’te nuit sans égale!

Où morts pis vivants vont rugir,

Dans une fête dimensionnelle,

Où l’chaos va tout envahir.

Grrraaaaaaghh! Uuuuuurgh!

Rrrroooooar! Aaaaargh!