Le vent semblait souffler sur moi
menthol/ bi-gout /fraise tagada
Une confiserie moléculaire
s’ouvrait au moindre courant d’air.
Quelqu’un pourtant te détrompa :
Y a comme un erratum, Tom:
Aucun parfum de ce goût-là !
C’est mon trop grand imaginaire
Qui change le printemps en chimère
Qui voit du beau où y’en a pas
Et me fait dire n’importe quoi
L’ivresse pouvait sentir pour moi
Litchi /réglisse/ rutabaga
Un beau bouquet d’essences primaires
Une promesse d’été en hiver
Quelqu’un pourtant te dessaoula :
Reçois cet erratum, Tom:
Aucun parfum de ce gout-là !
C’est mon trop grand imaginaire
Qui change le juron en prière
Qui sent du chaud… où y a du froid
Et me fait dire n’importe quoi
Les jours s’insinuaient en moi
Café/ dodo /Barbe à papa
L’automne à la table des matières
Donnaient des envies d’sens contraire
Quelqu’un pourtant te stipula :
Prends note de l’erratum, tom !
Aucun parfum de ce goût-là !
C’est ton trop grand imaginaire
Qui s’croit poisson dans la rivière
Qui remonte l’envers… quand y’a d’l’endroit
Et te fait dire n’importe quoi
Aucun parfum de ce goût-là !
C’est mon trop grand imaginaire
Qui change le printemps en chimère
Qui voit du beau… où y’en a pas
Et me fait dire n’importe quoi